a la découverte des iles mozambicaines
Légende de la photo : bateau traditionnel sur la plage de Matemo ; collier de "missanga"
(résidus de porcelaine et de verreries transportées dans des navires ayant fait naufrage à l'époque
de la colonisation portugaise) ; ruelle d'Ibo ; vue de la Fortaleza à Ilha do Moçambique ; musiro (masque de
beauté censé purifier la peau).
(résidus de porcelaine et de verreries transportées dans des navires ayant fait naufrage à l'époque
de la colonisation portugaise) ; ruelle d'Ibo ; vue de la Fortaleza à Ilha do Moçambique ; musiro (masque de
beauté censé purifier la peau).
5 bonnes raisons de choisir le Mozambique comme prochaine destination de vacances :
1 : Goûter à la cuisine locale, savant mélange des influences africaines, indiennes et portugaises. Si vous aimez les fruits de mer grillés à l'ail et le riz coco, n'hésitez plus. Le must : être dans le pays pendant la saison des mangues (d'octobre à décembre).
2 : Flâner dans les ruelles désertes d'Ibo pour apprécier les vestiges architecturaux de l'époque coloniale.
3 : Revivre la funeste arrivée des esclaves en passant les portes de la Fortaleza, à Ilha do Moçambique,
4 : Ne rien faire sur les plages désertes de l'archipel des Quirimbas.
5 : Prendre le train entre Cuamba et Nampula et faire ses courses par la fenêtre lors des multiples arrêts, véritable immersion dans la vie des Mozambicains.
1 : Goûter à la cuisine locale, savant mélange des influences africaines, indiennes et portugaises. Si vous aimez les fruits de mer grillés à l'ail et le riz coco, n'hésitez plus. Le must : être dans le pays pendant la saison des mangues (d'octobre à décembre).
2 : Flâner dans les ruelles désertes d'Ibo pour apprécier les vestiges architecturaux de l'époque coloniale.
3 : Revivre la funeste arrivée des esclaves en passant les portes de la Fortaleza, à Ilha do Moçambique,
4 : Ne rien faire sur les plages désertes de l'archipel des Quirimbas.
5 : Prendre le train entre Cuamba et Nampula et faire ses courses par la fenêtre lors des multiples arrêts, véritable immersion dans la vie des Mozambicains.
«Un paradis trompeur», le nouveau roman de Henning Mankell, nous renvoie, au début du XXe siècle, sur les côtes du Mozambique, à Lourenço Marques, nom portugais de Maputo.
Hanna, une jeune paysanne suédoise misérable, est parachutée par le destin dans un pays brûlant et barbare, rongé par la terreur imposée par le système colonial. La jeune femme devient, presque par hasard, patronne d'un bordel pour Blancs, et s'aperçoit que la peur n'est pas du côté que l'on croit. Hanna, venue des forêts |
Pour les lecteurs : cet écrivain mozambicain
manie la plume avec brio... Un superbe roman qui m'a accompagnée pendant les longues heures passées dans les transports en commun. |
profondes du Nord, découvre l'implacable violence de l'esclavagisme dans la moiteur d'une maison de passe. Encore et toujours, Henning Mankell revient sur ce qui le hante depuis toujours: le racisme comme forme suprême de la peur de l'autre. Serge Raffy (pour L'OBS)
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